A quoi peut donc correspondre l'axe tour de Saint-Denis et Allymes?

Une étude combinée de sources historique et archéologique ne suffit pas à expliquer les lieux. Nous avons en effet mis en évidence que le recours aux nombres et à la géométrie (terrestre et locale) avait son importance dans l'implantation. Nous pouvons maintenant nous intéresser aux cycles du temps avec l'aide de la science des anciens.

Tout peuple entretien un rapport avec le temps qui passe avec l'astronomie, ne serait-ce qu'avec les levers et couchers de soleil. Cela est vrai aussi avec les saisons et avec le cycle de la lune.

Un calendrier basé sur le soleil est un calendrier solaire.

Un calendrier basé sur la lune est un calendrier lunaire.

Il se trouve que tout calendrier lunaire requiert une resynchronisation avec le soleil à intervalle régulier: d'où le calendrier luni-solaire.

Les sociétés anciennes étaient donc souvent des calendriers luni-solaires, et pouvaient même avoir plusieurs calendriers.

Nous allons constater dans cette partie que l'axe tour de Saint Denis est un point clé du calendrier solaire.

1. Division du temps et géométrie

a. Division du temps dans la saison et géométrie du lieu

Mais à quoi peut correspondre l'axe tour de Saint-Denis/tour Ronde du Château des Allymes? Quentin Leplat (Message de la nuit des temps) a pu apporter son expertise sur le sujet. Et non des moindres.

Depuis la Tour, regardons les Allymes. Un angle de 24,3° est en place.

Faisons le rapport y/x (ce qui revient à faire la tangente de l'angle de 24,3°). soit 0,451

Maintenant, imaginez le coucher du soleil dans votre dos, aligné avec tour de Saint Denis et château des Allymes.

Cela tombe un 1er février. (ou un 9 novembre)

Or la position du 1er février par rapport au solstice d'hiver (40 jours) dans la période de l'hiver (89jours) donne le rapport suivant: 0,449

La division du temps des saisons correspond donc à la géométrie des lieux.

b. Division du temps dans la journée et la géométrie du lieu

Ce qui est frappant, Depuis la tour de Saint-Denis-en-Bugey, ce sont les combinaisons possibles pour se repérer dans le temps et dans l'espace.

Nous avons observé, au 21 juin 2025 à 6h08' le lever solaire (premier rayon). L'observation du coucher solaire ce même jour se faisait à 21h32.

A quoi correspond donc le 21 juin en 2025?

Il s'agit bien entendu du solstice d'été. Ce jour là, il était exactement à 4h42'.

Mais ce qui est frappant, c'est que le rapport entre le levé de soleil et la durée totale du jour est le même rapport que l'angle solsticial d'été précis à cet endroit, vu depuis la tour de Saint Denis.

Soit:

  • Durée de lumière dans la journée: de 6h08' à 21h32' donne 15h24' soit 15,4 heures. Le rapport de 15,4 sur 24 heures donne 0,6417.

  • L'angle mesuré sur https://www.archaeocosmology.org/eng/decli.htm , vérifié sur le site "Sun Earth tools" accompagné de "Google Earth pro" vaut 32,69° par rapport à l'est. Soit 32,7°. La tangente de cet angle vaut 0,6419.

la tangente de l'angle par rapport à l'est (donc la géométrie) donne le même nombre que le rapport de la lumière sur l'ensemble du jour (donc temporel).

Ceci est incroyable, et inédit, bien-sûr.

Comment la géométrie vient se caler sur un évènement solaire majeur? tout ceci toujours depuis la tour de Saint-Denis!

Doit-on aussi rappeler l'importance de la suite de nombre 327 dans l'agencement tour de Saint-Denis/château des Allymes?

Nous avons donc la possibilité de nous repérer, à la tour de Saint-Denis, par rapport au soleil, selon une géométrie et avant toute chose une suite de nombres caractéristique, que ce soit dans la saison, ou que ce soit dans la journée.

2. Les saisons

a. le cycle des saisons

Une autre piste pour étudier un lieu par le temps, c'est d'observer les saisons, à l'endroit où l'on est sur la terre:

  • Solstice d'hiver (latin soltitium, là où le soleil arrête sa course) : vers le 21 décembre, moment de l'année où le soleil est au plus bas dans le ciel à midi car le soleil se lève SUD-EST et se couche SUD OUEST dans l'hémisphère NORD. Le soleil stoppe sa course au sud pour les levers et couchers. A cette époque, le soleil ne change pas beaucoup de place au lever ou au coucher jour après jour. Cette date marque le début de l'hiver;

  • Equinoxe de printemps: vers le 21 mars, moment de l'année où le soleil est environ à 45° du sol dans le ciel à midi. Le soleil croise l'EST et l'OUEST exacts aux levers et couchers. La durée de la journée vaut la durée de la nuit (latin aequinoctium). Sa course dans le ciel lors du coucher est à son maximum. Visuellement, le soleil change de place le soir d'un soleil vers le NORD par jour à ce moment précis de l'année. Cette date marque le début du printemps;

  • Solstice d'été: vers le 21 juin, moment de l'année où le soleil est au plus bas dans le ciel à midi car le soleil se lève SUD-EST et se couche SUD OUEST dans l'hémisphère NORD. Le soleil stoppe sa course au sud pour les levers et couchers. Cette date marque le début de l'été;

  • Equinoxe d'automne: vers le 21 septembre, moment de l'année où le soleil est environ à 45° du sol dans le ciel à midi. Le soleil croise l'EST et l'OUEST exacts aux levers et couchers. La durée de la journée vaut la durée de la nuit. Sa course dans le ciel lors du coucher est à son maximum. Visuellement, le soleil change de place le soir d'un soleil vers le SUD par jour à ce moment précis de l'année. Cette date marque le début de l'automne;

Le cycle des saisons est un cycle perpétuel, qui ne s'arrête pas.

b. Configuration Terre/Soleil provoquant les saisons, vu depuis l'espace

D'un point de vue de l'espace, nous pouvons observer les saisons de la manière suivante:

Dans l'hémisphère Nord, le solstice d'hiver se produit lorsque l'angle d'inclinaison terrestre fait que le jour les rayons sont "rasants". Au solstice d'été, c'est le cas où les rayons du soleil sont hauts dans le ciel.

Nous observons que ce qui créé les saison est surtout l'angle d'inclinaison de la terre, rapporté au mouvement de celle-ci par rapport au soleil. Actuellement, il est aux alentours de 23,4°. Cet angle varie de 22° à 24,5° sur un cycle de 41000 ans (voir les cycles de Milankovitch). Cet angle de nutation a donc un effet qui a tendance à accentuer le contraste des saisons.

c. Configuration Terre/Soleil provoquant les saisons, vu depuis la Terre

L'angle solsticial représente l'angle fait entre la position du ½ soleil couchant du solstice d'hiver et la position du ½ soleil couchant du solstice d'été, depuis un point de vue observateur. Á Ambérieu-en-Bugey, cet angle vaut exactement 35° actuellement. Cet angle varie peu au fil des milliers d'années, mais il varie. Ceci est du au mouvement de nutation de la terre. En effet l'angle d'inclinaison de celle-ci varie de 22° à 24,5° sur un cycle de 41000 ans.

Ainsi, la position aux solstices du soleil varie sensiblement au cours des milliers d'années. L'équinoxe, elle, reste centrée au même point terrestre.

Les saisons se situent donc entre les bornes solaires naturelles formées par l'ensemble Terre/soleil.

d. le gnomon

Le gnomon est un mât planté dans le sol qui permet d'étudier la géométrie terrestre et l'astronomie.

Ainsi, on peut l'utiliser pour connaitre la latitude où l'on se trouve, ou bien connaitre l'heure à un moment donné de l'année, ou bien avoir une indication sur les saisons.

En effet, plus l'ombre portée à midi est courte, plus on se rapproche du solstice d'été. Plus l'ombre portée à midi est grande, plus on se trouve vers le solstice d'hiver.

Une étude en 1300 sur Ambérieu permet de vérifier que, pour les châteaux du XIVe siècle, l'ombre portée à midi au solstice d'hiver par un gnomon valant la valeur de la toise savoyarde est proche de 5m.

Il se trouve que 40 jours après, l'ombre portée à midi par un gnomon de 1m est de 1,988m. C'est à dire vraiment proche de 2m.

Ces deux figures, avec les valeurs associées nous invitent à étudier de près si un nombre entier sur l'ombre portée ne peut pas être cachée ici.

Pour le solstice d'hiver, avec le gnomon de 1,875m, on trouve une ombre portée d'exactement 5m quand nous nous trouvons à Lagnieu, à 6km au sud d'Ambérieu, en 1300. On peut donc changer de latitude pour changer l'ombre portée.

Cependant, au cours des âges, la terre possède une inclinaison qui varie légèrement au cours d'un mouvement de nutation cyclique de 41000 ans. Cela donne la date de 1550 pour tomber sur 5m d'ombre portée à midi à Ambérieu avec un gnomon de la valeur de la toise de Savoie au solstice d'hiver.

Prenons maintenant le cas du gnomon de 1m à la date de 40 jours après le solstice d'hiver. Il ne faut remonter que de 15km vers le nord pour tomber sur une valeur exacte de 2m.

Mais nous pouvons aussi remonter les âges. Et c'est assez surprenant.

Nous trouvons la date de -1900. Certes, le résultat au 1er février, soit 40 jours après le solstice d'hiver, donne 2m. Mais c'est justement ce que l'on cherchait. Il n'y a donc pas de surprise.

La surprise vient du même gnomon de 1m au solstice d'hiver qui donne une mesure exacte de 2,727m.

Or, cette valeur est en lien avec le nombre 24 (marquant le nombre d'heure dans une journée) et le nombre que l'on retrouve sur Ambérieu entre les châteaux: 6543.

2,727×24=65,45

Cette situation est assez exceptionnelle, et elle est spécifique à Ambérieu.

Par ailleurs, le rapport de taille entre la lune et la terre est de 0,2727=3/11

En conclusion, nous devons interroger le fait que les Châteaux d'Ambérieu sont peut être posés sur des lieux importants de l'époque Néolithique ou âge du bronze, voire même mégalithique.

Or nous rappelons que l'axe Allymes/Saint-Denis voit un soleil couchant au loin aligné au 1er février, et avec une division du temps dans la saison correspondant justement avec la géométrie d'implantation de l'architecture renvoyant notamment le nombre 6543.

Que s'est-il donc passé à Ambérieu en ces lieux pour que tout se confondent en géométrie, temps, nombres sur un 1er février?

C'est ce que nous allons voir dans les prochains épisodes, à travers le calendrier.

3. Les fêtes celtes et le rituel du 1er février¹

Nous avons vu que l'axe de la tour ronde des Allymes vers la tour de Saint Denis montre un alignement avec le soleil couchant le 1er février. Ceci marque une correspondance entre division du temps ET géométrie de l'axe. De plus nous avons vu que l'ombre portée par un gnomon vaut 2m exactement au 1er février sur Ambérieu vers -1900, avec une correspondance de nombre (6543/24 exactement) avec ce même gnomon à la même époque mais au solstice d'hiver.

Le premier février marque le 40ème jour exactement après le solstice d'hiver.

Or il existe, à cette date, un rituel archaïque celtique nommé Imbolc¹.

En fait, il existe 4 moments dans l'année celtique qui marquent les 2 solstices et les 2 équinoxes, 40 jours après l'évènement astronomique associé:

  • Equinoxe d'automne: vers le 21 septembre;

  • Fête de Samain: 1er novembre, 40 jours après équinoxe;

  • Solstice d'hiver: vers le 21 décembre;

  • Rituel d'Imbolc: 1er février;

  • Equinoxe de printemps: vers le 20 mars;

  • Fête de Beltaine: 1er mai;

  • Solstice d'été: vers le 21 juin;

  • Fête de Lugnasad: 1er aout.

La fête, chez les celtes, dure 3 jours, 7 jours ou 15 jours. Elle commence au coucher de soleil le premier jour. D'ailleurs, le premier jour de l'année commence au coucher de soleil, tout comme chaque jour de l'année.

La fête de Samain est étymologiquement du gothique samana (ensemble), saman en vieux-haut allemand et de l'allemand zusammen (ensemble). Samain est donc l'Assemblée avec un grand A. Les celtes affectionnaient les réunions, assemblées pour discuter de la politique, de la justice, etc. De plus Samain représente le début d'une nouvelle année chez les celtes. Fête totale et trifonctionnelle (sacerdotale, guerrière et productrice) . C'est la fête où le temps qui coule comme de l'eau est interrompu, figé, pour entrer dans l'éternité. Véritable porte vers l'autre monde, les vivant peuvent effectuer le trajet vers l'autre monde mais en risquant un retour difficile, voire impossible. La toussaint semble s'être calée dessus. C'est le démarrage de la période dite "sombre". Les trinoxium samonios nous amène à entrer en connexion avec soi même et avec la terre mère. Les feuilles tombent. Tout rentre en gestation dans la terre. L'homme doit être invité à la méditation, en dedans, afin de "transformer" les choses. Temps de décomposition devenant le terreau de la nouvelle année qui arrive. C'est la jonction entre 2 mondes, la connexion aux ancêtres, à la communication avec l'intériorité, avec l'invisible. On célèbre la terre mère, la famille, le clan. Ce qui sera extériorisé en action à la période claire doit être pensé, intériorisé à la période sombre pour la transformation associé au nouveau cycle. Les solutions sont en gestation. On coupe la matière pour l'observer et rentrer dans le fond des choses. C'est accepter de mourir à la période sombre pour renaître. Donc de penser à ce que l'on veut se débarrasser pour l'offrir à la nature. A Samain, le Banquet, la ripaille, l'ivresse et l'orgie sont de mise. Le cochon est consommé.

Imbolc marque le renouveau de la nature et du soleil, la purification par le feu et l'eau après la gestation de la période sombre où le monde intérieur est à l'œuvre et où il faut commencer à faire le tri de ce que l'on doit laisser derrière nous que l'on a accumulé pendant la période sombre. Le rituel du lavage par l'eau est à l'oeuvre à Imbolc. Nous n'avons que très peu de traces de ce moment de l'année. Mais l'étymologie même du nom renvoie, selon les spécialistes, à Imb-fhess ou Imb-fhius qui s'interprète définitivement en Imb-fholc. Imb- renvoie au ruisseau "de grande science" dans les traités métriques irlandais. Fholc renvoie au lavage, à la lustration. En Gaulois, cela pourrait donner Ambo-volcios ou Ambi-volcios.Tout ceci est à rapprocher du mois de février car en latin februare est la purification, justement, et il est synonyme de lustrare, le lavage, la lustration. Au final, il reste donc que Imbolc est le lavage ou la purification par le ruisseau². Et ceci est effectué sous forme de rituel afin d'enlever les souillures hivernales. Et c'est à peu près tout ce que nous savons. On peut aussi associer Imbolc au 1er décan du verseau, qui, justement, verse de l'eau depuis l'eau, eau qui cours dans le temps. De plus, après le verseau, nous avons encore un signe d'eau puisque nous entrons dans les poissons. Le folklore autour de Sainte Brigitte au 1er février est aussi à considérer, car Brigid est la déesse mère des celtes. La chandeleur semble s'être calée dessus (2 février). Le carnaval vient aussi à ce moment de l'année dans le folklore, et le feu y a une place importante. Cependant, le folklore actuel, fait de rituels inconscients, ne peut expliquer ce que Imbolc a représenté dans le monde celte.

La fête de Beltaine, c'est la fête du dieu solaire Bélénos, de Lug et de tout ce qui est brillant (lumière et feu) au travers aussi des déesses opposées, marquant le couple. Bel n'est qu'une facette de Lug, à Beltaine, dans tout ce qu'il a de lumineux. Le feu est associé à l'eau. Cette fête est une fête sacerdotale (druite, vates et bardes). Elle est au milieu de l'année celtique. Cette fête est une porte vers la lumière car on rentre dans la période dite "claire". Célébration des semailles, extériorisation des relations et actions. Fête où l'on purifie par le feu. On fait passer les troupeaux entre deux feu symbolisant la porte. Pour aller vers cette lumière, il faut avoir laisser la part d'ombre précédente derrière nous. C'est une fête où l'on doit s'enrichir des expériences autour de nous. C'est aussi l'occasion de passer par le feu l'ennemi, ou les voleurs, ou les fauteurs de violence.

La fête de Lugnasad est étymologiquement l'Assemblée du dieu suprême et roi Lug. Roi responsable en tant que fils et époux de la terre-mère, de la, richesse et de la prospérité du pays. C'est un moment où sont organisés des Jeux, des concours de musique et de chant 15 jours avant le 1er aout et 15 jours après. La nourriture n'est pas au centre. Lugnasad est une fête obligatoire, sous peine de calamités. Comme Samain, d'ailleurs. C'est un moment d'intense échanges, foires, règlements de questions politiques, mariages, trève militaire. Toutes les classes sociales sont représentées.

4. La tour de Saint-Denis-en-Bugey, observatoire astronomique?

La tour de Saint-Denis semble marquer un lieu important de la partition du calendrier celtique. Celle-ci vise systématiquement un lieu important à un moment du calendrier celte, basé sur les 3 fêtes celtes, le rituel d'Imbolc, et les évènements astronomiques calendaires tels équinoxes et solstices. La tour de Saint-Denis en est le centre et le lieu d'observation privilégié.

a. La tour de Saint-Denis offre une vue à 360° des environs

De part sa situation géographique avancée sur la plaine, ce point, au bout d'une avancée de colline sur 3 kilomètre environ, domine la vallée de l'ain, celle de l'albarine, et le canal du Buizin déporté de 3km vers le nord au XIVe siècle depuis Vaux-en-Bugey, alors que celui ci coulait jusque dans le Rhône 5km plus bas. Le canal du Buizin a été déporté par des moines, dans le but d'alimenter un moulin au pied de la tour, alors que l'Albarine "s'occupe" d'innonder par ses crues le côté nord. Voici cette

b. La tour de Saint-Denis point d'observation pour un lever de soleil

  • 3 jours avant l'équinoxe d'automne au 19 septembre: regardez en direction du château de Saint-Germain et Tour de Gy. Le soleil se lève vers 7h20 au dessus sur l'arête du Mont Charvet

  • Fête de Samain au 1er novembre, 40 jours après équinoxe: regardez au dessus de la vallée de l'albarine le soleil se lever

  • Solstice d'hiver au 21 décembre: malheureusement les arbres cachent l'observation. Le soleil se lève au dessus de Crêt de pont (1052m d'alitude et plus grande hauteur des environs).

  • Rituel d'Imbolc au 1er février: regardez au dessus de la vallée de l'albarine le soleil se lever.

  • 3 jours après l'équinoxe de printemps vers le 23 mars: regardez en direction du château de Saint-Germain et Tour de Gy. Le soleil se lève vers 7h40 au dessus sur l'arête du Mont Charvet.

  • Fête de Beltaine au 1er mai: regardez à droite du Mont Luisandre.

  • Solstice d'été au 21 juin: regardez à gauche du Mont Luisandre, le soleil se lève au sommet du morimont.

  • Fête de Lugnasad le 1er aout: regarder le soleil se lever exactement sur le sommet du mont Luisandre.

c. L'axe château des Allymes vers tour de Saint-Denis

Vue panoramique au nord:

Vue au sud sur le puit perdu du buizin:

Bibliographie

¹. Les fêtes celtiques, Christian-J. Guyonvarc'h et Françoise Le Roux, Editions ouest-France, pages 83-97, 1995

². Les fêtes celtiques, Christian-J. Guyonvarc'h et Françoise Le Roux, Editions ouest-France, page 198, 1995